Compte-rendu de mon séjour au Japon - J1 : Tokyo
Arrivés à l'aéroport de Narita vers 17h, nous avons expérimenté pour la 1ere fois notre anglais avec des Japonais car nous devions valider notre Japan Rail Pass de 2 semaines.
Nous avons rapidement trouvé une enseigne "JR" qui était très visible ! Les hôtesses, très compétentes en anglais, nous ont bien guidé, nous réservant même des sièges pour le Narita Express. Elles nous ont même donné des indications pour arriver à l'hôtel Khaosan Original à Asakusa.
le Khaosan Original, une nuit pour environ 3000 yens (25 €)
Nous avons pris le JR Yamanote jusqu'à Ueno et ensuite le métro pour quelques stations. Nous avons pu ainsi constaté qu'il suffit de montrer son JR Pass à l'agent pour accéder à tout le réseau JR !
1ere expérience déstabilisante du métro japonais en sortant du Yamanote : les affichages indiquent les lignes par des lettres et des numéros; ici la Ginza Line de G16 à G19. Un peu d'hésitations mais finalement l'affichage dans le métro était très clair avec des messages sonores en anglais.
Nous avons rencontré des Québecoises dans le métro et nous nous sommes rendu compte que nous allions vers la même chaîne d'hôtel: nous à l'Original, elles vers l'Annexe ! Cela nous a sûrement rassurés lorsqu'il a fallu acheter notre 1er ticket de métro avec des tarifs à la distance (qui est, avec du recul, très interessant).

Dans chaque station est indiqué les tarifs vers les autres stations. Tout fonctionne avec du liquide car le Japon n'est pas trop friand de carte bleue. On a découvert très rapidement le marquage au sol pour les files d'attente tout comme la disposition des sièges qui laissent de l'espace pour les bagages ou en cas de forte affluence.

Pas de système d'adresse à l'occidental, tout fonctionne encore sous forme d'itinéraire avec des repères pour arriver quelque part. On a trouvé sans trop de difficultés l'hôtel et l'accueil a été agréable avec un esprit très "auberge de jeunesse" avec beaucoup d'étrangers (beaucoup de Français et d'Australiens).
Il nous restait quelques heures avant de partir le lendemain pour faire le tour du Japon donc on en a profité pour se promener à Asakusa et déjà voir, même si c'était fermé, le Senso-ji. On s'est promené dans notre premier "100 yens shop" (en fait 105 yens avec la TVA à 5%) avec un choix incroyable de petits objets.
Expérimentation de notre premier restaurant de ramens et udons où nous sommes d'abord passé par un distributeur automatique avec les photos des plats pour ensuite donner le ticket au cuisinier, on se sent vraiment bien au Japon ! :D

On a repéré de loin un karaoke et on s'est lancé, malgré quelques hésitations, pour s'expliquer et demander comment ça fonctionne à peu près ! Plusieurs cabines sur plusieurs étages avec des tarifs à l'heure et une sacré liste de titres en anglais ! Pourquoi n'avons-nous pas ça en France ?

Nous avons rapidement trouvé une enseigne "JR" qui était très visible ! Les hôtesses, très compétentes en anglais, nous ont bien guidé, nous réservant même des sièges pour le Narita Express. Elles nous ont même donné des indications pour arriver à l'hôtel Khaosan Original à Asakusa.

Nous avons pris le JR Yamanote jusqu'à Ueno et ensuite le métro pour quelques stations. Nous avons pu ainsi constaté qu'il suffit de montrer son JR Pass à l'agent pour accéder à tout le réseau JR !
1ere expérience déstabilisante du métro japonais en sortant du Yamanote : les affichages indiquent les lignes par des lettres et des numéros; ici la Ginza Line de G16 à G19. Un peu d'hésitations mais finalement l'affichage dans le métro était très clair avec des messages sonores en anglais.
Nous avons rencontré des Québecoises dans le métro et nous nous sommes rendu compte que nous allions vers la même chaîne d'hôtel: nous à l'Original, elles vers l'Annexe ! Cela nous a sûrement rassurés lorsqu'il a fallu acheter notre 1er ticket de métro avec des tarifs à la distance (qui est, avec du recul, très interessant).

Les automates pour acheter un ticket de métro
Dans chaque station est indiqué les tarifs vers les autres stations. Tout fonctionne avec du liquide car le Japon n'est pas trop friand de carte bleue. On a découvert très rapidement le marquage au sol pour les files d'attente tout comme la disposition des sièges qui laissent de l'espace pour les bagages ou en cas de forte affluence.

des poignets partout en cas de forte affluence dans le métro
Pas de système d'adresse à l'occidental, tout fonctionne encore sous forme d'itinéraire avec des repères pour arriver quelque part. On a trouvé sans trop de difficultés l'hôtel et l'accueil a été agréable avec un esprit très "auberge de jeunesse" avec beaucoup d'étrangers (beaucoup de Français et d'Australiens).
Il nous restait quelques heures avant de partir le lendemain pour faire le tour du Japon donc on en a profité pour se promener à Asakusa et déjà voir, même si c'était fermé, le Senso-ji. On s'est promené dans notre premier "100 yens shop" (en fait 105 yens avec la TVA à 5%) avec un choix incroyable de petits objets.
Expérimentation de notre premier restaurant de ramens et udons où nous sommes d'abord passé par un distributeur automatique avec les photos des plats pour ensuite donner le ticket au cuisinier, on se sent vraiment bien au Japon ! :D

Pour 400 yens seulement (3 €)
On a repéré de loin un karaoke et on s'est lancé, malgré quelques hésitations, pour s'expliquer et demander comment ça fonctionne à peu près ! Plusieurs cabines sur plusieurs étages avec des tarifs à l'heure et une sacré liste de titres en anglais ! Pourquoi n'avons-nous pas ça en France ?

Asakusa, le lendemain matin
Retour à l'hôtel avec un sommeil assez difficile sûrement lié au décalage horaire... ou à l'excitation du voyage ;) Le lendemain, direction Kamakura !